|
| ||
Retour Faquin |
|
bas de page |
Inspecteur divisionnaire de la Police Nationale à Montélimar - DrômeBourrely
|Bruet
|Brunth
|Cheret
|Combe
|Faquin
|Guidicelli
|Jeantet
|Liesse
|Noel
|Nozzio
|Ordas
|Paoletti
|Ricard
|Trébuchet |
Police | FAQUIN Raymond Inspecteur de police à Montélimar - Drôme | |
| 08-12-1988 - Saisie Matra | PV. 08-12-1988 Nicoud contre Faquin | PV. Faquin 12-12-1988 |
L'huissier Reimonen et l'Inspecteur divisionnaire de la Police Nationale Faquin |
||
Le 08 décembre 1988,
Ribeyre d'Abrigeon |
||
Faquin son P.V. du 08-12-1988 | Affichage + Grand | |
10 décembre 1988 je dépose plainte contre l'inspecteur FAQUIN & l'huissier REIMONEN Ma plainte déposée auprès de l'inspecteur Nadine CHERET du commissariat de Montélimar Drôme - P.V. |
lettre du 16-12-1988 de l'inspecteur de police FAQUIN Raymond adressée au Procureur Georges APAP | ||
| 07-09-1985 dégradation Matra | PV. 08-12-1988 Nicoud contre Faquin | PV. Faquin 12-12-1988 |
Traduction de la lettre du 16 décembre 1988 que l'Inspecteur Divisionnaire R. FAQUIN a adressée au Procureur de la République de Valence - Soit 8 jours après ma déposition de plainte contre l'inspecteur Faquin, plainte qui a été classée sans suite - Le dossier est illisible [voir plus bas] |
|
Cette lettre se trouvait avec les pièce contenue dans le dossier du 05 septembre 1989 adressé par le parquet de Valence [26 - Drôme] a mon avocat Me Ribeyre d'Abrigeon de Privas [07 - Ardêche]. |
Montélimar, le 16 décembre 1988
L'Inspecteur Divisionnaire R. FAQUIN En fonction au Cict de Montélimar. à Monsieur le PROCUREUR DE LA REPUBLIQUE à VALENCE. |
|
OBJET / Rébellion à Officier Ministèriel (Huissier dans l'exercice de ses fonction.
AFFAIRE C / BEGUIN née NICOUD Eliane le 8 novembre 1940 à MARSEILLE/ 13 - commerçante - dt 9 Rue Cuiraterie MONTELIMAR. REFERENCE / Ma communication téléphonique du 8.12.88
P. JOINTES / Six procès-verbaux |
|
Le 8 décembre 1988 à 16h30 [?], j'ai été requi officiellement par Me REIMONEN, Huissier de Justice à Montélimar, pour l'assister en ma qualité d'officier de la Force Publique et sur les instructions permanentes de M le Commissaire Principal chef du Commissariat de Montélimar, pour pratiquer une saisie exécution au magasin tentation Rue Daujat à Montélimar chez une [ ? illisible]. Cette assistance s'est faite conformément à la réquisition contenue dans l'arrêt de la Cour d'Appel de Grenoble emportant condamnation de Mme BEGUIN dont copie est jointe au présent. Arrivé au dit magasin, lequel est ouvert au piblic et l'était à cette heure, sans aucun client à l'intérieur, Me REIMONEN a expliqué, papier à l'appui les raisons de sa visite et m'a présenté comme assistant de la force publique en raison de craintes de difficultés éventuelles (et prévisible vu le comportement antérieur de Mme BEGUIN) tout en faisant preuve de beaucoup de patience et expliquant les possibilités de recours qui appartenaient à cette personne. .../... Manifestement dès le début de l'entretien Mme BEGUIN avait l'intention de provoquer Me REIMONEN le traitant de "PEUREUX", lâche devant se faire accompagner par un "flic". Par provocation elle mis en marche un magnétophone au milieu de l'entretien demandant sans cesse deparler plus fort appelant au téléphone un "Capitaine" dans le but de nous impressionner masquant a peine des menaces de nous faire avoir des ennuis en raison de ces relations. Le papier ayant été rempli par l'Huissier se dernier me déclara se retirer. C'est alors que Mme BEGUIN s'est opposée par la force a notre sortis se plaçant devant sa porte [ ?].......les phrases qui suivent sont illisibles ......... a cet instant Mme BEGUIN ne paraisseait plus maîtresse de son comportement nous nous sommes arrachés de son emprise physique à savoir quelle nous maintenait par les poignées tantôt l'un tantôt l'autre. Voyant que nous parvenions à sortir elle s'est volontairement laissé tomber contre son bureau en prenant bien soin de renverser deux ou trois objets de [ ? illisibles ] et en se mettant à crier qu'elle venait d'être agressée et blessée. Cependant qu'elle se relevait bien vite pour venir hurler dans la rue au secours. J'ai du alors faire appeler un magasin voisin pour prévenir mon service de m'envoyer une patrouilleuse. Survint alors un homme portant parka vers lequel Mme BEGUIN redevenue tout à fait calme comme par enchantement se dirige. sur les conseils de ce dernier elle allait au cabinet médical en face tandis que cet homme s'insatallé au magasin en vendeur. Les vérifications effectuées ont permis d'établir qu'il s'agissait d'un certain capitaine Gardet, du 45e RT de Montélimar, concubain de Mme BEGUIN, lequel manifestement sans rien connaître de l'affaire, semblait agressif envers nous laissant entendre qu'il userait [ ? totalement illisible ] encontre. En l'espèce apportant sa caution silencieuse à Mme BEGUIN, revenue quelques instants qui nous menaçait de ces foudres. Me REIMONEN a déposé plainte pour ces faits à notre service, confirmant tout à fait ma propre déclaration. Mme BEGUIN, convoquée à notre service comme mise en cause, non seulement n'a pas reconnue la version des faits mais a eu l'insolence de déposer plainte à mon encontre pour voies de faits, présentant un certificat médical ne mentionnant pas d'ITT. Ellle a même le lendemain déposé plainte contre Me REIMONEN pour abus de pouvoir. En conclusion Mme BEGUIN c'est rendu coupable de délits d'outrage et rebellion à Officier Ministèriel dans l'exercice de ses fonctions ainsi qu'à Officier de Police Judiciaire en tentant de nous séquestrer dans son magasin puis en attirant bon nombre de passants en laissant entendre que nous étions des malfaiteurs. Elle s'est égelement rendue coupable de dénonciation calomnieuse de faits inexacts et deplainte abusive. Il me parait utile de signaler que l'exécution de cette pièce de Justice était déjà relative à une condamnation de Mme BEGUIN pour une plainte abusive à l'encontre de M. SOUVETON vétérinaire, dans laquelle Mme BEGUIN a dénoncé des faits inexacts. Il semblerait que cette personne soit allergique à toute application de la Loi à son encontre. Par ailleurs elle semble coutumière d'un usage epistolier auprès de différentes autorités dans le but d'exercer des pressions. elle est également connue de la Gendarmerie locale pour se plaindre incessamment du manque / PAGE TROIS / de sagacité ou de résultats pour la solution d'affaires la concernant. Enfin elle n'hésite pas à faire état verbalement de nombreuses relations haut placées pour nous menacer de nous faire des ennuis sur le plan professionnel. C'est pourquoi j'ai également déposé plainte à son encontre pour tous les faits relatés dans la procédure jointe.
Voir la lettre de l'Inspecteur Divisionnaire R. FAQUIN = Affichage + Grand |
Retour | Inspecteur de police FAQUIN Raymond à Montélimar - Drôme | |
| 07-09-1985 dégradation Matra | PV. 08-12-1988 Nicoud contre Faquin | PV. Faquin 12-12-1988 | lettre Faquin à Apap |
N° 47-2 - FAQUIN Raymond Inspecteur de police à Montélimar
et le Procureur MONDON Valence France
perso@nicoudeliane.net par Eliane Nicoud haut de page